Vous venez d’hériter d’une maison, mais vous n’envisagez pas d’y emménager, de la louer ou de la vendre pour le moment ? Vous êtes l’heureux propriétaire d’une résidence occasionnelle en région Île-de-France ? Vous disposez d’entrepôts ou de bâtiments industriels qui ne servent pas pour l’instant ? Les professionnels comme les notaires sont unanimes à ce sujet : sécurisez-les. Ces biens immobiliers inoccupés sont les cibles des squatteurs. Ils peuvent s’y installer à votre insu. Les faire partir ne sera pas une mince affaire. Il vous faudra faire preuve de patience et de sang froid pour récupérer votre maison. Conscient du désagrément et du stress qu’une telle situation peut engendrer, Antisquat permet aux propriétaires de sécuriser leur logement vacant en Île-de-France avec différents dispositifs, dont les bardages métalliques.
Le squat, un véritable fléau
Depuis quelques années, les guides qui dévoilent différents moyens de squatter un logement avec le minimum de risques sont très suivis sur internet. Ils conseillent entre autres sur la manière de choisir les maisons, notamment celles qui sont vides et isolées. Il n’est pas rare que les squatteurs changent les serrures des maisons et reçoivent des lettres à cette adresse. Ce sont tout autant de moyens de se fabriquer des preuves qu’ils pourront utiliser contre les propriétaires. Les situations de squat ont alors explosé.
Des personnes habitent votre domicile ou votre résidence occasionnelle sans bail ni tout autre accord. En tant que propriétaire, vous êtes tenté de faire évacuer les lieux vous-même, mais c’est contre la loi. Les squatteurs peuvent en effet vous poursuivre en justice. Vous encourez jusqu’à 3 ans de prison en plus d’une amende de 30 000 euros. Cette peine est beaucoup plus lourde que celle à laquelle s’exposent les squatteurs. La loi a prévu une pénalité de 15 000 euros et 1 an de prison pour ces occupants indésirables.
En ce qui concerne les procédures en bonne et due forme, auparavant, les victimes de squat devaient saisir la justice. Les démarches sont lourdes et coûtent cher. Les squatteurs qui ont tout intérêt à faire traîner l’affaire peuvent aussi faire appel à un avocat. Mais depuis quelques années, les démarches sont simplifiées. Une expulsion manu militari peut être réalisée en 72 heures, mais sous certaines conditions. Le propriétaire dispose de 48 heures pour déposer une plainte à compter de l’effraction et pour saisir la préfecture. Le préfet peut accéder à sa requête, mais pas toujours, tout dépend de la situation. Pour les cas sensibles, il peut ordonner à ce que les squatteurs restent temporairement dans le logement, le temps de trouver un hébergement convenable.
Antisquat, une référence en matière de solutions anti-squat
La société Antisquat est établie à Neuilly-Plaisance, dans le département de Seine-Saint-Denis, en Île-de-France, la région avec le taux de squat le plus élevé de l’hexagone. Les résidences de vacances et les locaux non occupés sur une longue période sont les principales cibles des squatteurs. Pour sécuriser l’entrée principale de toute effraction, Antisquat propose la porte blindée.
Avec son bloc-porte solidement encastré, sans gonds visibles et avec une serrure de sécurité, les effractions sont quasi impossibles. Pour une protection renforcée, il est envisageable de mettre en place un système d’alarme. Ce dispositif donne l’alerte en cas d’intrusion grâce à des détecteurs. La télésurveillance est aussi une option en complément d’une porte blindée. Ce système comprend différents détecteurs qui sont combinés à des caméras. Si une alerte est déclenchée, elle est traitée tout d’abord auprès d’un centre de télésurveillance. L’opérateur vérifie qu’une effraction a bien eu lieu. Il peut alors immédiatement appeler les forces de l’ordre pour une intervention rapide et ainsi vous permettre de respecter le délai de 48 heures de constatation d’une intrusion. Les démarches pour mettre les squatteurs à la porte sont ainsi allégées.
Les bardages métalliques Antisquat pour mieux sécuriser votre bien
Avec la porte blindée, la pose de bardage est tout indiquée pour le recouvrement et la sécurisation de toutes les ouvertures de votre logement inoccupé. Il peut être réalisé avec des planches de bois, mais la pose implique une altération du bâti. Il sera difficile de les enlever une fois que votre logement a trouvé acquéreur ou que vous envisagez d’y passer quelque temps. Le bardage en bois est en effet plus adapté pour condamner de manière définitive les ouvertures. Pour une sécurisation temporaire, le bardage métallique d’Antisquat est plus indiqué. Il présente de nombreux avantages.
Le bardage métallique consiste en l’installation de panneaux métalliques fixés aux différentes ouvertures d’un logement. Il peut s’agir d’une fenêtre, d’un balcon ou encore de la devanture d’un magasin ou de la porte d’un garage. Ces plaques métalliques ne sont pas réalisées avec de l’acier simple ou en tôle d’acier, mais avec de l’acier épais. Elles sont équipées d’un système de fixation innovant qui ne nécessite aucune intervention sur la maçonnerie. Sa pose n’altère donc pas l’enveloppe du bâtiment, ni même sa désinstallation d’ailleurs. Les techniciens d’Antisquat disposent du savoir-faire nécessaire pour préserver l’esthétique de votre logement.
Selon vos besoins, nous pouvons vous orienter vers un bardage métallique occultant. Il est particulièrement indiqué pour les endroits très peu fréquentés et situés au rez-de-chaussée. Ce modèle met l’intérieur de votre logement à l’abri des regards indiscrets et suffit à dissuader les éventuels squatteurs. Si vous êtes amenés à réaliser fréquemment des visites de votre maison ou entrepôt, le mieux est d’opter pour des panneaux translucides. Ils sont perforés et laissent passer la lumière du jour. Bien qu’ils soient troués, ces panneaux sont solides. Les plaques perforées sont renforcées pour résister aux possibles tentatives d’intrusion.